René PUYHARDY

Chef de bataillon Jean René PUYHARDY (1888-1980), infanterie métropolitaine.

Officier de la Légion d’honneur

Croix de Guerre 1914-1918 avec 3 palmes et 1 étoile

Croix du Combattant

Médaille Coloniale

Médaille de la victoire (dite médaille interalliée)

Médaille commémorative de la guerre 1914-1918

Croix de Saint-Georges (Russie)

Médaille commémorative de la guerre 1914-1918 (Italie)

 

Jacques PUYHARDY

Colonel Jacques PUYHARDY (1921-2009), gendarmerie nationale

décorations

Chevalier de la Légion d’honneur

Officier de  l’Ordre national du mérite

Croix de la Valeur militaire avec une étoile

Croix du combattant

Médaille coloniale, agrafe Extrême-Orient

Médaille commémorative d’Indochine 1945-1954

Médaille commémorative

Carrière militaire

Candidat reçu au concours de l’école d’officiers de Saint-Cyr en 1943, il ne peut intégrer celle-ci, qui a fermé entre-temps et est délocalisée à Cherchell en Algérie.

Reçu parmi les premiers, il a néanmoins le droit d’intégrer l’école de la gendarmerie, ce qu’il fait le

Affecté d’abord comme gendarme dans une brigade rurale de l’Aisne, il effectue sa scolarité à Melun, avant de rejoindre en 1946, comme sous-lieutenant, le détachement de gendarmerie de Berlin (où il terminera sa carrière, 33 ans plus tard !)

Dès 1947, il rejoint l’Indochine d’alors, puis en le détachement de gendarmerie d’Autriche à Bregenz.

Il retourne en Indochine, avant de prendre le commandement de la compagnie de gendarmerie de Ténes en Algérie

Il intègre ensuite le détachement de sécurité du <em>SHAPE</em> (Grand Quartier général des puissances alliées en Europe) à Fontainebleau.

En 1962, il reçoit le commandement de la compagnie de gendarmerie de Menton (O6) jusqu’en 1966, date à laquelle il rejoint l’état-major de la gendarmerie de Lorraine à Metz.

De 1969 à 1972, il commande le Groupement de gendarmerie de la Mayenne à Laval, avant de retourner à l’état-major de la gendarmerie de Lorraine à Metz jusqu’en 1975.

C’est alors qu’il est muté à son dernier poste, pour commander le détachement de gendarmerie de Berlin (Allemagne), là où il avait commencer sa carrière en sortant de l’École de gendarmerie de Melun 33 ans plus tôt.

Carrière civile

Mis à la retraite par limite d’age (58 ans à cette époque), il devient chef du bureau de défense de la préfecture du Bas-Rhin à Strasbourg, jusqu’en 1986.

Au total, 42 au service de l’État, dont 35 ans de carrière militaire.